Je le répète, les frais de scolarité ne sont qu'une partie de l'implication financière d'étudier dans l'ensemble des autres implications. Je l'ai déjà dit dans le passé et j'avais besoin de le répéter encore une fois pour que les gens du mouvement étudiant comprennent la logique.
Premièrement, il y a d'autres coûts incontrôlables liés aux études: le logement, le transport, la nourriture, le téléphone etc. Il est difficile de contrôler ces facteurs en termes de prix à moins vraiment de créer des régies gouvernementales qui vont contrôler les prix de ces biens. Mais même là, ca serait insignifiant comme effet sur la participation à l'université.
C'est parce que le facteur financier explique seulement 12% de l'écart entre le quartile de revenu le plus pauvre et le plus riche. Près de 84% de l'écart est expliqué par les notes aux tests normalisés de lecture et les notes scolaires obtenues à 15 ans, l'influence des parents et la qualité de l'école secondaire.
Alors quand on fait des politiques publiques et qu'on veut vraiment produire des résultats, est-ce qu'on mise sur le 12% ou le 84%? N'oublions pas que le 12% ne représente pas seulement les frais de scolarité! En plus, j'aimerai mentionner que la déclaration du facteur financier comme un déterrent aux études supérieures a diminué depuis 1991.
Premièrement, il y a d'autres coûts incontrôlables liés aux études: le logement, le transport, la nourriture, le téléphone etc. Il est difficile de contrôler ces facteurs en termes de prix à moins vraiment de créer des régies gouvernementales qui vont contrôler les prix de ces biens. Mais même là, ca serait insignifiant comme effet sur la participation à l'université.
C'est parce que le facteur financier explique seulement 12% de l'écart entre le quartile de revenu le plus pauvre et le plus riche. Près de 84% de l'écart est expliqué par les notes aux tests normalisés de lecture et les notes scolaires obtenues à 15 ans, l'influence des parents et la qualité de l'école secondaire.
Alors quand on fait des politiques publiques et qu'on veut vraiment produire des résultats, est-ce qu'on mise sur le 12% ou le 84%? N'oublions pas que le 12% ne représente pas seulement les frais de scolarité! En plus, j'aimerai mentionner que la déclaration du facteur financier comme un déterrent aux études supérieures a diminué depuis 1991.