Chrysler menace de quitter si il ne réussit pas à obtenir l'argent du fédéral ainsi que des faveurs sans oublier des baisses de salaires de la part du Canadian AutoWorkers Union. Ils demandent 2,3 milliards plus 500 millions en déductions fiscales et des coupures de 25 pourcent des salaires des employés.
Entre 2004 et 2008, l'ensemble des producteurs automobiles en Ontario ont reçu 629.775 millions du provinicial et 505.47 millions du fédéral. Ils ont déjà eu plus de 1 milliard en quatre ans et on peut se demander en quoi ca nous a aider?
En fait, la solution idéale serait de couper les subventions, que les employés acceptent des baisses d'impôts et que les fonds épargnés servent à baisser les impôts sur les revenus et les bénéfices des sociétés.
Toutefois, les gouvernements se disent que puisqu'une vingtaine de comtés de l'Ontario ont de vastes proportions de travailleurs du secteur de l'automobile et que l'Ontario tourne beaucoup du secteur automobile, autour essayer de se plier au marché politique et offrir de l'argent à ces entreprises.
Donc présentement, Chrysler fait du chantage et elle sait très bien que le gouvernement va plier.