Sur Radical Libre, j'ai récemment argumenté que depuis 1870, il y a certes eu une divergence globalement sur le plan économique mais que depuis 1950, celle-ci commence à se résorber. En réponse à mon texte, un collègue du Parlement Étudiant du Québec, Thomas Ferreti, m'a répondu que tous mes "beaux rêves de croissance infinie se heurter à la limitation des ressources". J'aimerai donc répondre d'une manière brève et simple à ce commentaire (une version plus longue apparaîtra bientôt sur Radical Libre de l'opinion que je profère ici).
La question de la croissance en est une de productivité, c'est-à-dire de l'atteinte des objectifs qu'on se fixe en utilisant moins de ressources même si on se crée des nouveaux objectifs. Ce que je vois maintenant, c'est qu'un ordinateur par exemple produit milles fois de puissance pour moins de ressources ou qu'une automobile consomme moins d'essence qu'auparavant et que cette tendance se continue. Ou même qu'une ressource disparaît d'utilisation même si elle demeure grandement utilisée parce que des nouveaux substituts ont été crées. J'ai déjà argumenté en ce sens dans les pages du Financial Post en 2008.
Ainsi, si j'avais tort l'ensemble du prix des ressources naturelles devraient être à la hausse considérant la hausse dramatique du revenu sur terre depuis 1934 (l'année de début des données plus bas), la hausse importante de la population, l'accès accru aux autres marchés grâce à libéralisation des marchés etc. Mais en fait, c'est le contraire qui s'est produit.
Désolé Thomas, encore une fois ton approche ouvertement marxiste échoue au test empirique.
La question de la croissance en est une de productivité, c'est-à-dire de l'atteinte des objectifs qu'on se fixe en utilisant moins de ressources même si on se crée des nouveaux objectifs. Ce que je vois maintenant, c'est qu'un ordinateur par exemple produit milles fois de puissance pour moins de ressources ou qu'une automobile consomme moins d'essence qu'auparavant et que cette tendance se continue. Ou même qu'une ressource disparaît d'utilisation même si elle demeure grandement utilisée parce que des nouveaux substituts ont été crées. J'ai déjà argumenté en ce sens dans les pages du Financial Post en 2008.
Ainsi, si j'avais tort l'ensemble du prix des ressources naturelles devraient être à la hausse considérant la hausse dramatique du revenu sur terre depuis 1934 (l'année de début des données plus bas), la hausse importante de la population, l'accès accru aux autres marchés grâce à libéralisation des marchés etc. Mais en fait, c'est le contraire qui s'est produit.
Désolé Thomas, encore une fois ton approche ouvertement marxiste échoue au test empirique.