Le nouveau ministre des Finances commence très mal, il a décidé de voir comment l'État pouvait encourager des intérêts québécois à acquérir le Canadien de Montréal. Euh...quoi?
- Le Canadien est rentable ou offre une possibilité de profits intéressants, pourquoi l'État devrait-t-il faire la tâche des banques?
- La plupart des joueurs du Canadien ne viennent même pas du Québec, c'est quoi le problème que le propriétaire ne soit pas du Québec?
Non Mr.Bachand, l'État n'a pas besoin d'intervenir dans le dossier du Canadien...
3 commentaires:
Justement, si le gouvernement via la CDP-Q ou la SGF financent l'achat du Canadiens, une des premières conditions serait d'obliger le Club à acquérir par l'exclusivité des premiers choix des joueurs du Québec.
Dans le temps le Canadiens avait autour de 50% de jouers francophones et l'équipe ne se trainait pas comme aujourd'hui .
La CDP a bien aidé Gillet à acheter le Canadiens...
Peut-importe que le Canadiens soit acheté par des Québécois ou autres. Tant que l'équipe reste à Montréal ! Ce marché est extrêmement viable, même si l'équipe serait bonne dernière... La preuve, malgré toutes les difficultés que cette équipe a connue depuis plusieurs années. Le Centre Bell est toujours plein.
En réponse à AntiPollution: Justement, si le gouvernement via la CDP-Q ou la SGF financent l'achat du Canadiens, une des premières conditions serait d'obliger le Club à acquérir par l'exclusivité des premiers choix des joueurs du Québec.
Assez ridicule, pour ne pas dire stupidement xénophobe, comme commentaire. Est-ce la CDP exigerait à une compagnie québécoise qu'elle supporte financièrement d'engager que des Québécois de souche... Franchement !
Le Barça (FC Barcelone) est une équipe très près du nationalisme catalan.
Et pourtant, l'équipe n'appartient et ne vivent pas grâce à l'État mais à des fans eux-mêmes et on n'applique pas de critères nationaux (xénophobes) pour sélectionner les joueurs.
On accepte que les meilleurs, peu importe leur race, leur religion, leur langue ou leur nationalité.
L'une de nos plus belles fiertés dans les années 1960 et 1970, les courses hippiques, ont été détruites graduellement à partir du moment où l'État a décidé de nationaliser et de gérer seul le "vice" des courses... pour en prendre seul tous les profits.
L'État peut aussi tuer le Canadien s'il décidait de nationaliser l'équipe. YES THEY CAN!
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