Selon moi, il existe deux types d'entrepreneurs. Il y a les entrepreneurs "économiques" qui tentent tout les jours de tout faire pour s'assurer que leurs entreprises prospèrent. Ces entrepreneurs font tout pour que leur entreprise survive grâce à leurs talents, ils acceptent la possibilité de l'échec mais ils reconnaissent les vertus de la victoire vraiment méritée. Le mérite selon eux, c'est de faire le plus possible pour les clients avec le moins possible!
L'autre type c'est celui que je qualifie d'entrepreneur "politique". Il ne cherche pas à faire en sorte que ce soit ses talents d'entrepreneurs qui attirent les clients et assure sa viabilité. Il cherche à forcer les clients à le faire vivre en utilisant l'État pour prendre l'argent du contribuable qui ne voudrait pas être son client. Pour cet entrepreneur, la productivité n'est pas prioritaire, l'assurance de l'aide de l'État prend priorité.
Alors, on pourrait donc considérer des entrepreneurs comme David Patterson de Abitibi-Bowater comme un entrepreneur politique. Ce dernier essaie de quémander l'État pour qu'il le sauve de la faillite au lieu d'accepter de faire des choix difficiles en termes de restructuration et d'accepter les conséquences de la crise quitte à ce qu'un véritable entrepreneur reprenne les ressources de Abitibi-Bowater et fasse mieux que lui.
1 commentaires:
«L'autre type c'est celui que je qualifie d'entrepreneur "politique". Il ne cherche pas à faire en sorte que ce soit ses talents d'entrepreneurs qui attirent les clients et assure sa viabilité. Il cherche à forcer les clients à le faire vivre en utilisant l'État pour prendre l'argent du contribuable qui ne voudrait pas être son client. Pour cet entrepreneur, la productivité n'est pas prioritaire, l'assurance de l'aide de l'État prend priorité.»
Un «moocher», selon le verbiage d'Ayn Rand...
Enregistrer un commentaire