Daniel Ikenson du Cato Institute argumente comme je l'ai fait récemment avec des chiffres plus récents que les syndicalistes de la Colombie sont autant en sécurité qu'ils pourraient l'être à Washington D.C.
Selon Ikenson, le taux de meutre a diminué de 40% au pays et de 80% parmi les leaders syndicaux, une situation qui est partiellement dûe à la déroute des FARC face aux efforts du président Uribe. En sus, l'accord de libre échange pourrait permettre de renforcer les liens entre les deux pays tout en ouvrant la porte à davantage d'opportunités pour les Colombiens.