Alors, trop souvent, ce régime a ignoré les règles du marché, voire les notions économiques élémentaires au nom de la compassion et a misé davantage sur le partage de la richesse que de sa création, la centralisation plutôt que de faire confiance aux forces du marché là où le marché peut bien faire son travail.
Est-ce qu'il comprend ce qu'il dit? Probablement pas...Pourquoi on ne met pas en valeur le travail de nos Québécois? Pourquoi on n'a pas choisi un produit québécois, un vin, un cidre qui sont produits ici, ainsi promouvoir la qualité de nos produits? Promouvoir des vins italiens, est-ce que ça semble cohérent avec un principe d'achat local?
2 commentaires:
Je "zappais" dimanche dernier et je suis tombé sur l'émission Tout le monde en parle... J'entends alors Patrick Huard dire que ça avait aucun sens de faire venir des poires de la Nouvelle-Zélande parce que le transport de là-bas produit des gaz à effet de serre (GES). Personne ne s'est questionné sur la quantité de GES supplémentaire requise pour les faire pousser dans notre climat. Le transport n'est pourtant qu'une partie de l'équation. On dirait que les gens oublient que l'énergie à un coût. Si on fait venir des poires de la Nouvelle-Zélande, c'est probablement parce que ça coûte moins cher que de les faire pousser ici.
Ensuite, j'entends Micheline Lanctôt dire qu'on devrait tous avoir notre potager. Personne encore pour lui dire qu'il fut une époque pas si lointaine où tout le monde cultivait sa nourriture. Au moins la moitié des gens travaillaient sur des fermes... aujourd'hui, c'est 2%. Si on a pas tous chacun notre potager, c'est peut-être justement parce que ce n'est pas efficace et que ça prendrait beaucoup plus d'énergie. Mais il faut pas trop en demander aux invités de Tout le monde en parle... ça réfléchie pas fort.
L'idée d'avoir son propre potager n'est pas mauvaise. Mais de là à subvenir de cela... Je vais pousser des tomates et des piments pour le plaisir et ils sont bien meilleurs ! :)
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