Dans La Presse ce matin, Marie Allard nous présente un article lamentant la fermeture de plusieurs écoles publiques à cause de changements démographiques. Mais je n'aimerai que certaines personnes croient qu'il s'agit d'un probléme en soit. En fait, je pense qu'il faudrait pousser un pas plus loin vers une réforme qui aurait pour effet de fermer certaines écoles.
Je sais que Bryan n'est pas partisan comme je le suis du bon d'éducation, toutefois je pense qu'il partagerait l'idée de briser l'idée d'une école de quartier publique. Ce que je veux dire par là, c'est de faire en sorte que les parents qui envoient leurs enfants à l'école publique puisse bénéficier de la possibilité de choisir. La subvention que l'État accorde par enfant pour les écoles publiques pourrait être une subvention "mobile".
Le parent de Hochelaga-Maisonneuve qui ne veut pas envoyer son enfant à l'école de quartier publique pourrait l'envoyer à l'école de quartier de Rosemont, même si c'est plus loin, parce qu'il trouve que cette école est meilleure. La subvention suivrait l'enfant.
Déjà ils peuvent choisir entre le réseau publique et le réseau privé, les parents pourraient maintenant choisir à l'intérieur du réseau publique en plus. Toutefois, il est clair que cette idée implique l'autonomie des écoles et l'abolition des Commissions Scolaires. Il est clair aussi que plusieurs petites écoles pourraient fermer dans certains coins. Toutefois, les écoles qui resteront seront celles qui auront comprises comment offrir la meilleure éducation possible selon le caprice des parents. Et pour les plus pauvres, ils ne paieront toujours rien tout en bénéficiant des avantages de la concurrence.
Fermetures d'écoles publiques
Fermetures d'écoles publiques
2009-02-24T03:04:00-08:00
Vincent Geloso
Éducation|
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Bryan Breguet est candidat au doctorat en sciences économiques à l’université de Colombie-Britannique. D’origine Suisse, il a passé les cinq dernières années au Québec au cours desquelles il s’est engagé en politique provinciale malgré le fait qu’il ne possédait pas encore la citoyenneté canadienne. Il détient un B.Sc en économie et politique ainsi qu’une maitrise en sciences économiques de l’université de Montréal. Récipiendaire de plusieurs prix d’excellences et bourses, il connaît bien les méthodes quantitatives et leurs applications à la politique.
Vincent Geloso holds a master’s degree in economic history from the London School of Economics, with a focus on business cycles, international development, labor markets in preindustrial Europe and the new institutional economics. His research work examined the economic history of the province of Quebec from 1920 to 1960. He holds a bachelor’s degree in economics and political science from the Université de Montréal. He has also studied in the United States at the Washington Centre for Academic Seminars and Internships. Mr. Geloso has been an intern for the Prime Minister’s cabinet in Ottawa and for the National Post. He has also been the recipient of a fellowship from the Institute for Humane Studies and an international mobility bursary from the Ministère des Relations internationales du Québec. Currently, he is an economist at the Montreal Economic Institute.
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