Et voilà, nous connaissons les grandes lignes du fameux super plan libéral pour faire face à la crise économique. Outre le fait que la plupart des propositions sont semblables à celles du plan péquiste (démontrant encore une fois à quel point ces élections sont inutiles), ce qui ressort le plus c'est que Charest veut des mesures socialistes.
Oubliez les "mesures difficiles à prendre" qui "nécessitent un mandat fort" ou "une seule pair de main sur le gouvernail", nous savons maintenant quelles sont ces mesures. Parmi celles-ci, on découvre que le PLQ est rendu interventionniste et veut investir 2 mia $ dans les entreprises québécoises. Heureusement, selon cyberpresse:
Fiou, Charest est donc rendu seulement socialiste, pas communiste. Mais la campagne est encore jeune...
Oubliez les "mesures difficiles à prendre" qui "nécessitent un mandat fort" ou "une seule pair de main sur le gouvernail", nous savons maintenant quelles sont ces mesures. Parmi celles-ci, on découvre que le PLQ est rendu interventionniste et veut investir 2 mia $ dans les entreprises québécoises. Heureusement, selon cyberpresse:
Dans tous les cas, la participation de la SGF serait minoritaire. Pas question, donc, de prise de contrôle ou de nationalisation.
Fiou, Charest est donc rendu seulement socialiste, pas communiste. Mais la campagne est encore jeune...
1 commentaires:
Attention, le deuxième milliard, c'est des prêts pour les entreprises. Si je ne m'abuse, c'est toujours Charest qui propose le moins de dépenses.
Si Charest est socialiste, Dumont est communiste et Bush est la seconde incarnation de Lénine. Je ne vois pas, par ailleurs, en quoi ton discours est avancé par cette accusation à-la-neocon.
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